Un document gouvernemental de 1991 révèle que le vaccin DCaT provoque une microcéphalie !

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Une étude publiée dans  « The National Center for Biotechnology Information » révèle que le gouvernement des Etats-Unis sait depuis 1991 qu’il existe un lien entre le vaccin anticoquelucheux et la microcéphalie.

Un document gouvernemental de 1991 révèle que le vaccin DCaT provoque une microcéphalie !

À la lumière de ces informations, pourquoi les responsables gouvernementaux se sont-ils mis à blâmer la récente épidémie de microcéphalie au Brésil sur le virus Zika? Pourquoi le fait qu’aucun cas connu de microcéphalie n’a été signalé à la suite du virus en plus de 70 ans? Tant de questions qui restent sans réponse.

L’étude en question :

L’étude intitulée « Effets indésirables des vaccins anticoquelucheux et rubéoleux: Rapport du Comité chargé d’examiner les conséquences néfastes des vaccins anticoquelucheux et rubéoleux » a révélé un lien entre la microcéphalie et le vaccin DCaT.

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Voila qui résume les résultats de la recherche:

Parmi les cas symptomatiques, les causes présumées sont souvent regroupées en fonction du moment de l’agression présumée qui survient avant, pendant ou après la naissance. On pense que les facteurs prénataux représentent 20 à 30% des cas.

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Cette catégorie comprend les anomalies cérébrales, les troubles chromosomiques, les syndromes neurocutanés tels que la sclérose tubéreuse, les troubles métaboliques héréditaires, les infections intra-utérines, les antécédents familiaux de convulsions et la microcéphalie (Bobele et Bodensteiner, 1990, Ohtahara, 1984, Riikonen et al. Donner, 1979).

Possible existence de lien entre les spasmes infantiles et la vaccination :

Parmi les premiers rapports de cas suggérant un lien possible entre les spasmes infantiles et la vaccination contre la coqueluche, il y a ceux de Baird et Borofsky (1957).

Ils ont décrit 24 enfants qui avaient une hypsarythmie et des crises myocloniques infantiles et dont le développement avant l’apparition des spasmes était apparemment normal. Neuf cas de spasmes infantiles ont été rapportés entre 1 et 5 jours après la vaccination DTP (diphtérique, tétanique et poliomyélitique).

Trois de ces neuf enfants avaient également des antécédents de complications périnatales que les auteurs pensaient avoir été liés à un risque de spasmes infantiles. Les auteurs ont également déclaré qu’une hypsarythmie était présente chez deux des enfants affectés décrits par Byers et Moll (1948).

Depuis ces premiers cas, d’autres cas de spasmes infantiles associés à la vaccination anticoquelucheuse ont été décrits dans la littérature (Fukuyama et al., 1977, Millichap, 1987, Portoian-Shuhaiber et Al Rashied, 1986).

Les intervalles de temps signalés entre la vaccination et l’apparition des spasmes infantiles ont duré de quelques minutes à quelques semaines (Melchior, 1971). Millichap (1987) a publié l’une des plus grandes séries de cas de spasmes infantiles survenus après la vaccination contre la coqueluche. Six enfants âgés de 2 à 9 mois ont été inclus.

L’intervalle de temps entre l’immunisation et l’apparition des spasmes était de 6,5 heures à 5 jours, et les premières convulsions étaient survenues en même temps que les première, deuxième ou troisième doses du vaccin anticoquelucheux.