Le 10 octobre représente la Journée mondiale de la santé mentale, et cette année aura été un anniversaire marquant. S’étant tenue pour la première fois en 1992, la journée de cette année correspondait à la 25e journée consacrée à la sensibilisation aux problèmes de santé mentale et à la lutte contre la stigmatisation qui y est encore associée.
Mettre fin aux préjugés :
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C’est une mesure de progrès réalisés au cours du dernier quart de siècle que la santé mentale est devenu maintenant un sujet qui suscite de plus en d’intérêt; les campagnes proéminentes « Time to Talk and Heads Together » ont donné de l’élan et même le Prince Harry s’est rallié à la cause qui aide à dissiper les vieux préjugés.
De cette façon, de réels progrès sont réalisés dans la lutte pour surmonter la stigmatisation, qui voit des attributions déplacées et honteuses envers les personnes souffrantes.
Un autre front dans la lutte pour la santé mentale est l’effort continu pour s’assurer qu’une fois que les gens cherchent de l’aide, ils ne sont pas abandonnés par un système qui n’en fournit pas rapidement.
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Dans la pratique, cela revient à relever les défis politiques et logistiques liés au maintien de services de santé mentale correctement financés et adéquatement organisés, disponibles via le NHS, où des progrès ont été réalisés.
Les temps d’attente demeurent un problème dans de nombreuses localités, et le financement en est un facteur déterminant, mais de là à attribuer tout le blâme aux politiciens est trop simpliste.
L’évolution des services de thérapie psychologique du NHS reste derrière leurs homologues en santé physique :
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