Le cas de cet enfant est prometteur pour le traitement du VIH :
« Cela pourrait être un signal de quelque chose que nous ne comprenons pas, mais sur laquelle nous devons nous focaliser pour de futurs traitements », explique le Dr. Cotton. Pour rappel, l’enfant sud-africain est le troisième cas rapporté de rémission du VIH à long terme chez un enfant après que le traitement précoce du VIH a été interrompu.
D’autres cas similaires plus ou moins encourageant :
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Le premier cas était une petite fille du Mississippi qui a reçu le traitement antirétroviral seulement 30 heures après sa naissance jusqu’à l’âge de 18 mois. Le bébé a subi une rémission pendant 27 mois, jusqu’en 2015, puis a fait une rechute et le virus a été retrouvé dans son sang.
Un autre enfant français a commencé un traitement anti-VIH à partir de l’âge de 3 mois. Mais lui son traitement a du être interrompu entre ses 5 et 7ans d’âge. A la différence du cas précédent évoqué, l’enfant continue d’être en bonne santé plus de 11 ans plus tard.
Le dernier cas le plus prometteur que ce dernier est donc celui de l’enfant sud-africain qui, comme l’explique Cotton, n’est pas encore complètement guéri. « Notre enfant de 9 ans ajoute un peu plus à l’image que l’on essaie de déchiffrer de la complexité qu’il y a entre les êtres humains et le VIH. Il est sur la voie de la guérison, mais nous ne savons pas encore combien de temps va prendre la guérison totale ».
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