En plus cancer du de sein, le traitement hormonal de substitution présente aussi d’autres risques de santé non négligeables :
Nous savons que la ménopause qui survient chez les femmes entre 40 et 50 ans, peut s’accompagner de plusieurs symptômes dont la dépression, les bouffées de chaleur, des maux de tête, les sueurs nocturnes… À long terme, il peut également causer des maladies osseuses et des pertes de mémoire.
Ce qui pousse ces femmes à suivre le traitement hormonal de substitution en vue de remédier aux symptômes. Sauf que le THS n’a pas qu’un bon coté, il s’accompagne de risques de cancer du sein, comme nous l’avions expliqué ci-dessus, mais aussi d’autres risques de cancer, tels que :
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1. Cancer de l’ovaire :
Un chercheur danois a notamment révélé le risque accru de développer un cancer de l’ovaire, dans une étude publiée en 2009. Ici, aussi bien le traitement hormonal substitutif à œstrogènes seuls, que le THS de combinaison d’œstrogènes de synthèse et de progestérone ont été passés sous la loupe.
Des études antérieures avaient déjà donné lieu à ce doute : on peut s’attendre à une normalisation du risque de maladie que dans les deux ans après l’arrêt de prise du THS.
2. Cancer du poumon :
En plus du cancer du sein et de l’ovaire, le THS a aussi été associé au cancer du poumon. Une étude américaine très détaillée parue en 2009 avait révélé que la probabilité de développer un cancer du poumon et même en décéder, augmentait avec l’utilisation d’hormones artificielles.
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Consignes :
Compte tenu de ces risques accrus, les scientifiques mettent en garde les femmes, habituées à la pris de THS, de prendre la dose la plus faible possible et d’arrêter de les prendre aussitôt que leurs symptômes auront disparus.