Toutefois il y a une différence entre les punitions et la maltraitance infantiles :
S’adressant à CNN, Jeff Temple souligne la nécessité de déterminer ce qu’ils (les sujets de l’enquête) considéraient comme une punition et ce qu’ils considéraient comme de la maltraitance.
Temple a défini la maltraitance des enfants comme le fait de les frapper avec une ceinture, laissant des contusions visibles ou des blessures nécessitant la consultation de médecin.
C’est en partant sur ces bases que “les enfants qui ont déclaré avoir subi des châtiments corporels étaient aussi les plus susceptibles de commettre des actes violents dans leurs rapports avec les autres personnes.
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Les chercheurs ont également noté que ces résultats étaient les mêmes, peu importe l’âge, le sexe, l’appartenance ethnique, l’éducation des parents et le degré de maltraitance pendant l’enfance.
Bien que de nombreux facteurs tels que la santé mentale ou la toxicomanie puissent causer des violences comportementaux, la soumission des enfants à de la maltraitance doit aussi être considéré comme un facteur parmi tant d’autres.
La pratique consistant à frapper un enfant a été interdite dans plusieurs pays du monde tels que la France, la Suède et l’Écosse.
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Au Royaume-Uni, il existe des lignes directrices strictes selon lesquelles il est illégal pour un parent de frapper ses enfants, sauf lorsque ces circonstances constituent une punition raisonnable. Une punition raisonnable n’est pas valable dans les cas où il s’agit de blessures, de lésions corporelles réelles, de lésions corporelles graves ou de cruauté envers les enfants.