La toxicité du cuivre pourrait-elle être à l’origine de votre fatigue chronique, de votre dépression et de votre mauvaise fonction immunitaire?

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Pour toute personne soucieuse de sa santé, vous avez sans doute conscience des dangers que représentent les métaux lourds toxiques tels que l’aluminium, le cadmium, le mercure, le plomb et l’arsenic que nous prélevons dans notre eau et notre alimentation, ainsi que dans l’air que nous respirons.

La toxicité du cuivre pourrait-elle être à l’origine de votre fatigue chronique, de votre dépression et de votre mauvaise fonction immunitaire?

Mais ce que nous ne savons pas, c’est que le cuivre peut aussi agir comme un métal lourd dans le système et devenir extrêmement toxique, causant de la fatigue chronique, du cancer et une gamme de maladies auto-immunes ainsi que des problèmes psychiatriques incluant le trouble bipolaire, l’anxiété, la dépression et l’autisme.

Carence et excès de cuivre :

Vous vous posez certainement la question suivante : le cuivre n’est-il pas un minéral essentiel pour la santé humaine ?

Eh bien oui, mais le problème réside dans le fait que nous sommes surexposés au cuivre et que nous sommes incapables de l’utiliser correctement, car le cuivre cause à la fois une carence et un excès de métal.

Même si le cuivre joue un certain nombre de rôles importants dans l’organisme, comme la production d’énergie, la santé reproductive des femmes, la création de neurotransmetteurs, l’immunité, ainsi que le maintien des os et du tissu conjonctif, lorsqu’il y en a en excès dans l’organisme, les niveaux deviennent déséquilibrés. Et c’est de là que vient tous les autres problèmes.

Le cuivre peut s’avérer être très toxique pour la santé humaine. Cela arrive quand il y a un excès du métal (cuivre) dans le corps, mais il n’est pas bien utilisé car il y a une carence en protéines associée au cuivre (céruloplasmine et métallothionéine). Sans des niveaux adéquats de ces protéines, le cuivre non lié circule librement dans le corps et s’accumule dans le cerveau, le foie et les organes féminins, où il fait des ravages.

Les troubles liés à la toxicité du cuivre comprennent : la perte de mémoire, la dépression, l’anxiété, manque d’attention, hyperactivité, autisme, Trouble bipolaire, Schizophrénie, Infertilité, Manque de libido, Fibromyalgie, Hyperthyroïdie, Hashimoto, Problèmes cardiovasculaires, Mauvaise santé des os et des dents…

De plus, les chercheurs ont trouvé une corrélation directe entre le déséquilibre du cuivre et le cancer :

Le cuivre et les œstrogènes :

Lorsque le cuivre augmente, l’œstrogène augmente également, ce qui explique pourquoi nous constatons aujourd’hui une telle augmentation de la «dominance œstrogénique» chez les hommes et les femmes. Puisque l’œstrogène est un puissant cancérogène, le cuivre est impliqué dans le développement du cancer.

Toxicité hépatique :

Lorsque le cuivre est en excès, il s’accumule dans le foie, rendant cet organe beaucoup moins efficace dans son travail de désintoxication. Lorsque nous ne pouvons pas éliminer correctement les toxines, notre risque de cancer augmente considérablement.

Déséquilibre du cuivre et infections :

Étant donné que la toxicité du cuivre nous rend plus vulnérables aux infections fongiques et autres, nous sommes plus vulnérables au cancer, car la recherche a montré une forte corrélation entre les infections bactériennes, fongiques et virales et les tumeurs.

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