ALZHEIMER serait-elle une maladie d’origine alimentaire ? Il semble bien que oui !

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De nouvelles recherches démontrent qu’il existe un lien convaincant entre un type particulier de protéine et les maladies neurodégénératives telles que la maladie d’Alzheimer, de Parkinson et la maladie de Lou Gehrig. Ce qui est intéressant à ce sujet c’est que cette protéine, appelée TDP-43, agit de la même manière que les protéines toxiques et infectieuses connues sous le nom de « prions ».

ALZHEIMER serait-elle une maladie d’origine alimentaire ? Il semble bien que oui !

Le TDP-43 fonctionne de manière très similaire aux protéines responsables de l’encéphalopathie spongiforme, qui se manifeste soit comme la maladie de la vache folle (chez les vaches), la maladie débilitante chronique (chez le cerf et le wapiti), ou la maladie de Creutzfeldt-Jakob (chez l’homme).

Des maladies d’origine alimentaire chez les animaux:

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Parmi les maladies évoquées ci-dessus, les deux premiers, à savoir la maladie de la vache folle et la maladie débilitante chronique, affectent la fonction mentale de l’animal en question, qui les contracte à travers sa nourriture.

La maladie de Creutzfeldt-Jakob n’est pas différente de celles-ci-mis à part qu’elle concerne l’homme. Maintenant, la question est de savoir si l’Alzheimer doit aussi être classée parmi cette catégorie de maladies contractées à travers la maladie.

En effet, la technique d’élevage « Concentrated animal feeding operation » (CAFO), qui consiste à les à confiner les animaux pendant plus de 45 jours au cours d’une saison de croissance, est souvent considérée comme responsable de la propagation de la maladie de la vache folle chez les bovins.

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Car les animaux mangent et vivent ensemble dans des quartiers proches, ce qui facilite la propagation de la maladie.

De plus, au cours de ces opérations, le bétail est souvent nourri de farine d’os et de déchets provenant d’autres animaux, ce qui est jugé comme étant  la cause de la vache folle et la maladie débilitante chronique. En effet, les vaches sont naturellement herbivores et ne sont pas habituées à manger des ossements ou des déchets d’autres animaux.

De même, il se pourrait que la maladie d’Alzheimer se développe de la même manière chez l’homme :

Tout comme la maladie de la vache folle et la maladie débilitante chronique chez les animaux, les humains aussi développent la maladie de Creutzfeldt-Jakob (l’équivalent de la maladie débilitante chronique chez les hommes) en mangeant des produits d’origine animale.

Dans ce cas ci, les protéines dans le cerveau commencent à s’agglutiner jusqu’à ce que la majorité ne parvienne plus à fonctionner correctement.

Cela peut sembler familier, car la maladie d’Alzheimer est également causée par la formation de plaques et d’enchevêtrements dans le cerveau et qui font obstacle à son bon fonctionnement. La différence est que nous n’avions jamais pensé au paravent que la maladie d’Alzheimer puisse être une maladie d’origine alimentaire.

Il est intéressant de noter que les mangeurs de viande sont trois fois plus susceptibles que les végétariens de développer la maladie d’Alzheimer. A noter également que 25 à 50 pour cent des patients atteints d’Alzheimer ont la protéine TDP-43 qui se cache dans leur cerveau, et ceux-ci sont plus susceptibles d’éprouver des troubles cognitifs plus graves au moment de leur mort.

Conclusion :

Si les humains peuvent contractée la maladie de Creutzfeldt-Jakob en mangeant des produits animaux, tels que la viande et les produits laitiers, il y a de fortes chances que nous puissions aussi contracter la maladie d’Alzheimer de la même manière, à travers la protéine TDP-43.