Alors qu’elle n’a encore que 24 ans, Sabrina Gonzalez Pasterski s’est déjà fait une renommée parmi les physiciens les plus prometteurs des Etats Unis. Adoubé par les savants d’Harvard comme « le prochain Albert Einstein », Sabrina fait étalage de son génie dans la physique quantique et a même déjà construit un avion.
Un potentiel hors norme :
Originaire de Chicago, Sabrina Pasterski ne vit littéralement que pour la science.
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Ayant été comparé à de grandes têtes pensantes comme Albert Einstein ou encore Stephen Hawking, Sabrina est pressentie pour être la relève de la prochaine génération, comme l’une des plus grandes intelligences de l’humanité.
La mécanique, la physique aussi bien que les machines, ont toujours été sa passion, ce depuis le bas âge alors qu’elle n’avait que 12 ans.
C’est à cette même époque qu’elle entreprit de construire son premier avion, en tentant d’assembler toute seule un appareil monomoteur dans le garage de son père.
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Ce qui pourrait sembler improbable, vu son âge mais aussi le manque de moyen logistique et autres, la jeune parvint pourtant à réaliser son projet. En l’espace de deux ans, elle est allée au bout de la construction de son avion, qu’elle a fait voler au-dessus du lac Michigan.
Pour l’occasion, elle a aussi marqué l’histoire en devenant la plus jeune personne à être parvenue à accomplir un vol avec un appareil de sa propre conception au cours de l’Histoire.
Une personnalité bien différente de celle de la génération actuelle :
Sabrina ne se différencie pas des autres que par sa capacité intellectuelle, mais aussi par sa manière de vivre, qui y est sans doute pour quelque chose dans son succès.
Très différente des jeunes de sa génération, elle ne possède pas non plus de compte Facebook ou Twitter, ni de smartphone, mais dispose d’un blog dénommé Celle “PhysicsGirl”, où elle partage ses différentes réalisations.
Ce blog, elle le détient depuis l’époque de la construction de son avion. Elle y a d’ailleurs publié les étapes de la fabrication de son appareil.
Diplômée de l’Académie des Mathématiques et des Sciences de l’Illinois à seulement 17 ans, elle a postulé pour entrer au prestigieux Institut de Technologie du Massachusetts (MIT). Ses réalisations publiés sur le groupe, ont suffit pour convaincre les recruteurs, l’épargnant ainsi de passer par la voie du concours.
Comme en témoigne un de ses professeurs, Allen Haggerty, « Nous étions stupéfaits lorsque nous avons visionné [la vidéo]. Le potentiel de cette jeune fille est hors norme, ».
Après être sortie du MIT avec une note finale de 5.0 (la note la plus élevée possible), elle est repérée par l’Université de Harvard, où elle se consacre à l’étude de la physique quantique. Elle a gagné le droit de faire elle-même ses propres recherches de la manière qu’elle souhaite, selon ses propres termes et conditions, et sans aucune interférence de la part des enseignants-chercheurs ou du personnel universitaire.