Fukushima : Première apparition du saumon radioactif au Canada !

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Voici ce qu’ont révélé les tests et les données recueillis jusqu’à aujourd’hui sur la catastrophe nucléaire du siècle :

Fukushima : Première apparition du saumon radioactif au Canada !

 

Des tests de radiation du poisson dans les restaurants de sushi ont révélé la présence de radioactifs du césium 134 appelé «l’empreinte de Fukushima» en raison de son taux de décomposition rapide. Avec une demie-vie de seulement 2,06 ans, il y a peu d’autres endroits où l’isotope dangereux et cancérigène pourrait avoir été créé.

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Le cesium-134 est un isotope radioactif formé principalement par l’activité humaine, dont la seule source plausible sur la Terre, actuellement, est le désastre de Fukushima. Il se désintègre à un rythme relativement rapide et ne peut donc pas être lié à des catastrophes nucléaires antérieures ou à des essais atomiques.

Déjà présent un peu partout !

Jusqu’à présent, l’isotope radioactif 131 a été retrouvé dans des réserves d’eau municipales dans des endroits comme la Pennsylvanie et le Massachusetts peu de temps après l’accident initial de Fukushima, classée par EnviroNews USA comme la catastrophe environnementale la plus destructrice de l’histoire humaine.

Les échantillons de la côte de l’Oregon ont mesuré environ 0,3 becquerels par mètre cube pour le césium 134. Les chercheurs aux États-Unis et au Canada ont déclaré que les niveaux de rayonnement récemment détectés étaient extrêmement faibles et ne posaient «aucun risque pour l’homme ou l’environnement».

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Malheureusement, NBC, le New York Post, USA Today, et même l’Inquisitr entre autres, a pris l’appât et a rapporté la même chose. La science médicale et les études épidémiologiques ont démontré à maintes reprises qu’il n’y a pas de quantité sûre de rayonnement à laquelle un organisme vivant pouvait être soumis ni une période précise.

Avec chaque exposition ultérieure, peu importe son degrés, le sujet éprouve une augmentation du risque de cancer. Dans le sillage de Fukushima, plusieurs gouvernements, et certainement le gouvernement japonais, ont relevé la limite annuelle “sûre” de l’exposition aux rayonnements pour les humains, mais cela ne leur sert qu’à réduire la responsabilité légale et à apaiser les inquiétudes du public, dans un monde de plus en plus radioactif.

Maintenant, Fukushima n’est plus un secret pour personnes et les canadiens, plus que d’autres, observent l’évolution de cette affaire avec une très grande inquiétude, dans l’attente de plus de tests et de données sur les eaux océaniques et les fruits de mer, les premières victimes de l’indifférence de l’Homme.

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