Le bronzage artificiel est à la mode ces temps ci, surtout chez les femmes et en dépit d’innombrables avertissements concernant les dangers suite à l’exposition aux rayons de ce type de bronzage.
Plus de 400.000 cas de cancer de la peau sont diagnostiqués chaque année aux États-Unis, dont 80% sont liés au bronzage artificiel aux rayons. Les lits de bronzage sont placés sous le groupe 1 de la classe des agents cancérigènes, au même titre et selon la même catégorie que les cigarettes et le plutonium.
En fait, il aurait plus de personnes qui développeraient un cancer de la peau à cause du bronzage artificiel que de personnes qui développeraient un cancer des poumons à cause de la cigarette. Malgré tout, 27% des filles de 12 ans aux États-Unis et 32% des femmes blanches non hispaniques âgés de 18 à 21 ans se font bronzer artificiellement.
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Mais, qu’est-ce qui poussent ces personnes à cette pratique en dépit de tous les avertissements ?
Sans scrupule ni vergogne, certains médecins prescrivent des séances de bronzage artificiels comme traitement de l’acné, malgré qu’ils aient peu de preuves scientifiques à l’ appui pour recourir à ce type de traitement.
Beaucoup croient, à tort, que les lits de bronzage soulagent les symptômes du trouble affectif saisonnier (SAD). Le Trouble Affectif Saisonnier est causée par un déséquilibre hormonal qui se traduit par une abondance de la mélatonine (l’hormone qui vous rend somnolent) le matin, rendant la victime toujours fatiguée et déprimée.
Compte tenu des effets préjudiciables causés par le bronzage artificiel, il est facile de voir comment il peut rapidement devenir catastrophique, comme il l’a fait pour une jeune femme américaine, Ashley Trenner.
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Sur son lit de mort, elle a déclaré un dernier souhait :
Ashley Trenner se bronzait 3 fois par semaine pendant 15 ans…Son cauchemar était interminable :
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