Ashley a commencé à se faire bronzer artificiellement depuis le lycée et, comme beaucoup d’autres camarades de son âge, elle devient très vite accro au plaisir de cette pratique devenue dépendance. Au fil du temps, la mère de Ashley l’avait supplié qu’elle arrête, mais la jeune fille a continué malgré tout.
Pendant 15 années consécutives, elle a visité les lits de bronzage plusieurs fois par semaine.
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“Je me croyais invincible et je n’imaginais jamais avoir un cancer de la peau», écrit-elle sur son blog. Finalement, une petite lésion est apparue sur sa peau. Elle l’a rapidement retiré, mais cependant, le mal était déjà fait…
Voyant la lésion empirée et devenir douloureuse, la jeune fille a finalement accepté de voir un dermatologue. À l’âge de 33 ans, elle a été diagnostiquée avec un mélanome. Sa première bataille avec la maladie est bien passé. Les ganglions lymphatiques tumorales ont été enlevés, et pendant trois ans, elle n’a eu aucune manifestation cancéreuse.
Mais en 2009, le mélanome était revenu, et cette fois-ci, les médecins lui ont dit qu’il n’y avait pas beaucoup d’espoir qu’elle y survive. Dans une interview télévisée, elle a dit ceci : “J’ai payé de l’argent pour être où je suis maintenant. Je me suis littéralement ruiné pour finir avec cette terrible maladie qui me tue “.
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Sur son lit de mort, elle a déclaré un dernier souhait :
“S’il y a une vie que je peux sauver avec ma mort, ce serait un beau cadeau que je puisse donner avant de mourir”
Elle est décédée le 15 Mars 2013. Inspiré par son histoire, les deux états de l’Oregon et de Washington ont adopté deux lois pour contraindre le recours au bronzage artificiel et limiter ses dégâts. Des centaines d’étudiants ont également signé une pétition, jurant de ne jamais utiliser un lit de bronzage.